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Automassage et santé des muscles et des fascias

Un automassage consiste à se masser soi-même pour éviter le recours à une tierce personne, coûteuse si elle est professionnelle ou de mauvaise volonté si c’est votre conjoint(e) . Vous aurez seulement besoin de petits matériels (balles, rouleau, bâton) ou à défaut, de vos mains. S’auto-masser est intéressant d’un point de vue économique mais demande toujours du temps et un peu d’énergie.

Pour être efficace en prévention afin d’éviter les blessures liées au sport, les massages doivent être pratiqué régulièrement, à minima 3 fois par semaine, pendant environ une vingtaine de minutes. Si vous parvenez à consacrer ces 1h d’auto-massage par semaine, les bénéfices santé seront au rendez-vous.

Un exercice d'automassage en coaching sportif
Exercice d’automassage proposé par un coach sportif

Pour comprendre quels bienfaits en retirer, il est primordial d’identifier les mécanismes sous-jacents. Suite à un effort physique, comme c’est le cas lors d’une séance de sport, vos fibres musculaires se cassent et vos muscles deviennent plus raides à cause notamment de lésions ou d’adhérence entre vos fascias. Voyons cela de plus près.

Que sont les fascias ?

Le fascia est une membrane de tissu conjonctif qui enveloppe les muscles et certains organes dont elle assure le maintien. Ce vocable d’origine latine signifie bande. C’est donc lui qui relie les divers éléments du corps entre eux, des pieds à la tête et de l’intérieur vers l’extérieur. Un peu à l’image d’une vaste toile d’araignée glissée autour de nos os, organes, muscles et autres tendons et ligaments.

Le fascia enveloppe, protège, isole et sert d’attache. En anglais, on l’appelle « connective tissu », terme qui met en relief la fonction de liaison qu’il occupe. Sans ces tissus élémentaires, le corps perdrait son intégrité, pour schématiser. Certains fascias sont connus, comme la plèvre qui enveloppe les poumons, le péricarde pour le cœur, ou les méninges. D’autres le sont moins mais sont tout aussi importants. Ce n’est pas un tissu inactif, il comporte lui-même des nerfs et permet notamment la circulation de la lymphe

Une femme se masse avec un foam roller
Automassage des avants bras

Les Trigger points :

On l’a vu, notre corps est composé de muscles striés composés de fibres musculaires enveloppés de tissu conjonctif, les fameux fascias. Suite à un entraînement sportif, à une blessure ou à une mauvaise posture, ce système myofascial se rétracte localement. Cela entraîne des tensions, des raideurs et des adhérence qui peuvent se transformer en Trigger point ou point gâchette causant des douleurs musculaires.

On peut comparer un Trigger point à un nœud se formant au sein des fibres musculaires. Il sont parfois identifiables à de petites boules lors de la palpation, sinon, ils sont repérables par une hypersensibilité de la zone lors du massage. Votre travail, lors d’une séance d’automassage, est de rechercher ces fameux Trigger points manuellement. En les massant, vous les ferait progressivement disparaître. Cela diminuera vos douleurs et entretiendra votre mobilité.

Les bienfaits de l’automassage

Les automassages doivent être pratiqués de manière régulière à raison de 3 fois par semaine pour en tirer pleinement profit. 15 à 20min seront suffisants pour ressentir les premiers effets sur vos muscles.

Une équipe de chercheurs canadiens s’est intéressé aux bienfaits de l’auto-massage. Ils en ont conclu que :

  • Un auto-massage de 2 x 1 min des quadriceps améliore la mobilité articulaire du genou.
  • On obtient une réduction des adhérences au niveau des fascias.
  • La force musculaire des extenseurs du genou n’est pas affectée par un auto-massage.
  • Les automassages sont utiles dans un processus de rééducation ou de réathlétisation.

En règle générale, on s’est aperçu que les automassages permettaient :

  • De diminuer les douleurs et les tensions musculaires.
  • D’améliorer la circulation sanguine et lymphatique permettant de réduire les courbatures.
  • De diminuer le risque de blessures.
  • De voir disparaître les trigger points.

Pour en tirer pleinement profit, concentrez-vous donc davantage sur la fréquence d’utilisation plutôt que sur la pression exercée ou la durée.

Le matériel pour les automassages

Il existe de nombreux matériels et accessoires permettant les automassages. Cependant, la balle de massage et le rouleau sont les plus utilisés. Ils ont l’avantage d’être facilement transportables pour être utilisés à la salle de sport, en extérieur ou lors de déplacements professionnels.

La balle de massage

balle de massage
Balle de massage

Vous pouvez vous procurer une balle de récupération, une balle de tennis ou encore de golf. L’idée est de masser en profondeur en variant la pression exercée. La balle permet d’atteinte de nombreux endroits (voûte plantaire, dos, triceps, nuque, etc).

Le rouleau de massage (Foam roller)

Foam roller
Foam roller

Ce rouleau de massage ou foam roller, d’une trentaine de centimètre environ, comprend un revêtement en mousse à haute densité avec des aspérités. Ces dernières sont utiles pour exercer des points de pression efficace. N’espérez pas réaliser un massage délicat et doux puisque le rouleau viendra vous masser en profondeur. Cette mousse dense peut donc surprendre lors de la 1ère utilisation.

Une fois que vous maîtriserez ces deux appareils d’auto-massage, vous pourrez vous orienter vers le bâton de massage, la canne de massage ou encore la bouteille d’eau congelée qui permet de réduire les inflammations.

Les automassages ne doivent pas être douloureux, afin de pouvoir éliminer correctement vos tensions. Il convient donc de tester différentes positions et différentes techniques avant de trouver celle qui vous correspond.

Auto-massage en pratique

Que ce soit en prévention ou pour éliminer des douleurs musculaires, vous avez décidé de vous auto-masser ? C’est une bonne chose. Voyons ensemble comment procéder sur vos mollets et vos quadriceps. Néanmoins, avant ça, sachez que les automassages peuvent être effectués avant, en guise d’échauffement, après votre séance ou lors d’un jour de repos.

En guise d’échauffement, on procédera plutôt à un massage rapide et peu appuyé afin d’élever la température, de favoriser la circulation sanguine et de préparer le corps à l’effort. La pression sera donc moyenne, à un rythme rapide.

Après la séance ou lors des jours de repos, on pourra procéder à des massages profonds et lents. Ceci permettra de voir disparaître progressivement les « nœuds » en alignant les fibres musculaires.

Automassage sur les mollets en vidéo
Automassage des mollets
Automassage des mollets


Asseyez-vous au sol, une jambe tendue, et placez votre rouleau de massage sous le mollet. Avec vos mains à plat au sol, soulevez vos fesses afin de vous alléger pour que le rouleau puisse faire des allers-retours. Partez du talon d’Achille jusqu’à l’arrière du genou. Au bout de 3 minutes, changez de mollets. Pour augmenter la pression, vous pourrez placer une cheville sur l’autre durant le mouvement.

Automassage des quadriceps en vidéo
Une femme se masse les quadriceps avec un foam roller
Automassage des quadriceps


Placez-vous ventre contre terre, bras tendus. Le rouleau de massage sera positionné au niveau des cuisses. Faites avancer et reculer votre corps afin de faire rouler le Foam roller le long de vos quadriceps.

En résumé

Le massage chez le sportif fait partie intégrante de la performance. Chaque sportif de haut-niveau dispose dans son emploi du temps d’une période de massage par un kinésithérapeute permettant de mieux récupérer. 
À votre niveau de sportif occasionnel ou régulier, les automassages sont une solution efficace. Ils permettent d’éliminer les tensions musculaires et d’améliorer la récupération. En échauffement ou en fin de séance, s’auto-masser régulièrement grâce à un rouleau, une balle ou un bâton de massage est une excellente routine.
Ceci permet de préserver sa santé, sa mobilité et améliorer ses performances. Vous pouvez aussi, après la séance, utiliser une huile de massage au CBD. Nous avons testé, c’est pas mal pour limiter l’inflammation post workout !

Références :

  1. ER. Monteiro, MT. Cavanaugh, DM. Frost & I. da Silva Novaes. (2017). Is self-massage an effective joint range-of-motion strategy? A pilot study, Journal of Bodywork and Movement Therapies Volume 21 Issue 1 pp 223-226, Elsevier. Consulté sur sciencedirect.com
  2. YC. Chan, TJ. Wang, CC. Chang, LC. Chen, HY. Chu, SP. Lin & ST. Chang. (2015). Short-term effects of self-massage combined with home exercise on pain, daily activity, and autonomic function in patients with myofascial pain dysfunction syndrome, Journal of physical therapy science Volume 27 Issue 1 pp 217-221. Consulté sur pubmed.gov

Autres sujets sur la prévention des blessures :

Bikram yoga : attention à la déshydratation

Le point commun entre Daniel Craig, Andy Murray et Lady Gaga ? Le Bikram yoga, bien sûr. Aussi appelée hot yoga, cette activité fournit une excellente excuse pour imaginer ces célébrités en sueur et petite tenue. Inventée par l’Indien Bikram Choudury à la fin des années 1970, ce style de yoga se pratique dans un bain de chaleur chargée d’humidité. Si elle paraît efficace sur plusieurs plans, elle n’est pas destinée à tous et présente même certains risques, tels que la déshydratation.

Jeune femme en pleine séance de Bikram yoga
Bikram yoga

Le Bikram yoga pour plus de souplesse

Salle chauffée à plus de 40 degrés et air humide (40 %), on comprend rapidement pourquoi le Bikram yoga est aussi appelé hot yoga ou yoga chaud. Dans ce contexte, l’équipement est simplifié : short, tee-shirt, tapis de yoga et serviette suffisent. Pourquoi s’inflige-t-on cela ? Pour faire monter la température du corps et en augmenter les capacités. Débarqué en France au début des années 2000, le Bikram yoga séduit pas mal de yogis, stars et autres amateurs de sport.

À raison de 800 calories grillées en une séance de 90 minutes dans ce qui s’apparente à un sauna, on avoue être tenté de mouiller le maillot. Parmi ses atouts, ce yoga très physique permet de gagner en équilibre, dérouille les articulations, booste la souplesse des ligaments et tendons et renforce les muscles. Il serait excellent pour apaiser les maux de dos et de nuque, les raideurs et tensions ou encore le stress. Sa botte secrète ? La chaleur. Elle facilite les étirements profonds en relaxant la machine et permet d’aller plus loin dans la complexité des exercices.

Enchaînement de 26 postures

Attention, fainéants s’abstenir. On ne pratique pas le Bikram yoga en dilettante. Il s’agit de faire appel à toute sa concentration afin d’enchaîner 26 poses – les asanas – dans un ordre précis, ainsi que deux exercices de respiration – pranayamas. Et souvenez-vous que cela dure 90 minutes, alors votre endurance cardiovasculaire, vous allez la développer. Le calme, la concentration et la persévérance demandées font partie intégrantes des valeurs du yoga, applicables à d’autres domaines de la vie.

Ce ballet codifié ne s’improvise pas. Les initiés expliquent qu’il faut au moins trois séances pour apprivoiser les positions et parvenir à les enchaîner à un rythme rapide. C’est seulement à ce moment-là que vous ressentirez les bénéfices physiques de cette pratique. En plus d’une meilleure flexibilité articulaire et musculaire ainsi qu’un gain de force, vous profiterez d’une profonde sensation de relaxation physique et mentale. Peut-être aurez-vous aussi une peau plus nette, à force de suer abondamment à 20 euros la séance.

 

Une sudation excessive ?

Cours collectif de Bikram yoga
Cours de bikram yoga

Des conditions trop intenses, c’est ce que certains coaches sportifs et médecins reprochent au Bikram yoga. Pratiquer le sport dans une salle à plus de 40 degrés, cela ne convient pas à tout le monde. L’activité est d’ailleurs proscrite pour les personnes souffrant de problèmes cardiaques, respiratoires ou veineux, ainsi que pour les femmes enceintes. Globalement, on conseille d’obtenir l’aval d’un médecin avant de soumettre l’organisme à ces contraintes. Aussi, il est plus sage de vous aventurer dans cette pratique si vous possédez déjà une bonne condition physique.

L’un des plus grands risques est la déshydratation provoquée par une telle séance. Il n’est pas rare que les pratiquants souffrent de nausées, d’étourdissements et fassent des malaises. Pour parer à cela, il convient de bien s’hydrater avant, pendant et après l’effort. Notez que transpirer autant entraîne une perte de minéraux importante. C’est pourquoi on conseille de consommer une boisson de l’effort, comme une boisson isotonique.

Pourquoi opter pour l’isotonique ?

Lorsque l’effort physique est prolongé, il entraîne une consommation d’énergie ainsi qu’une sudation importantes. Les muscles sollicités consomment de l’eau et des glucides, quant à la transpiration, elle laisse s’échapper une belle dose de minéraux. Un cocktail dont l’organisme a besoin pour survivre correctement à l’effort et récupérer après. La bonne nouvelle, c’est que ce cocktail existe ! Il est connu sous le nom de boisson isotonique, savant mélange dont la constitution se rapproche de celle du sang. Une fois avalée, elle est très vite absorbée par l’organisme. Bien plus que l’eau seule et que l’eau chargée de sucres. Grâce à cela, on s’évite l’étape déshydratation, une belle chute d’énergie et on favorise sa récupération. Ensuite, reste à voir si vous retenez l’enchaînement des 26 postures…

S’il vous prend l’envie de tester le yoga à domicile, n’hésitez pas à contacter un de nos professeurs de yoga !

Références :

  1. ZL. Hewett, LB. Ransdell, Y. Gao, LM. Petlichkoff & S. Lucas. (2011). An examination of the effectiveness of an 8-week bikram yoga program on mindfulness, perceived stress, and physical fitness, Journal of Exercise Science & Fitness Volume 9 Issue 2 pp 87-92. Consulté sur sciencedirect.com
  2. SD. Hunter, MS. Dhindsa, E. Cunningham, T. Tarumi, M. Alkatan, N. Nualnim & H. Tanaka. (2013). The effect of Bikram yoga on arterial stiffness in young and older adults, The Journal of Alternative and Complementary Medicine Volume 19 Issue 12 pp 930-934. Consulté sur liebertpub.com

Découvrez plus de styles de yoga :

La pliométrie en toute sécurité avec un coach privé

Vous avez l’habitude de travailler votre condition physique avec un coach sportif ? Vous avez forcément déjà goûté à la pliométrie. Cette méthode d’entraînement permet de gagner en puissance et en explosivité, et complète efficacement la pratique de nombreuses disciplines. On pense notamment à l’athlétisme, au basketball, au handball ou encore au volley-ball. Elle s’accorde aussi très bien avec les séances de HIIT. Le seul bémol, c’est qu’il ne faut pas en abuser, sous peine de trop contraindre vos articulations.

Sportif en train de faire du box jump, exercice de pliométrie.
Box jump : un exercice de plyométrie

Petit précis de pliométrie

Un exercice est pliométrique lorsque les muscles passent d’un état d’étirement à celui de contraction dans un laps de temps court. On parle de phases excentrique et concentrique. C’est ce qui se passe quand on prend de l’élan avant de sauter, par exemple. Dans un premier temps, on fléchit les jambes et les muscles emmagasinent de l’énergie sous forme élastique. S’ensuit la force réflexe, ou réflexe myotatique, qui entraîne la contraction du muscle en réponse à son étirement. On profite alors d’une meilleure détente au moment de sauter.

À force de pratique, on gagne en vitesse d’exécution, en force et en explosivité. Cela permet aussi une meilleure coordination musculaire en ce que les exercices de pliométrie sollicitent des chaînes musculaires complètes. Ce n’est pas le cas d’un coaching de musculation traditionnel. Celui-ci cible souvent un muscle que l’on fait travailler en isolation. On y gagne en force potentielle mais pas en force fonctionnelle facilement applicable à un autre domaine que la musculation pure. En effet, un joueur de basket aura de la peine à faire gagner son équipe grâce à un remarquable développé-couché. L’idéal est de trouver le juste milieu en alternant entraînements de musculation et entraînements pliométriques.

Exemples d’exercices

Avant de poursuivre, on a bien envie de vous délivrer quelques exemples d’exercices types de pliométrie. Ce sera, à coup sûr, plus clair dans les têtes de ceux qui découvrent cette méthode. Pour commencer, sachez que ce genre d’entraînement se réalise majoritairement avec le seul poids du corps.

Homme en train de faire des pompes sautées, exercice de pliométrie.
Pompes sautées

Pour les membres inférieurs

Concernant les membres inférieurs, on pense à la corde à sauter. Excellente pour les quadriceps, les mollets et les fessiers, c’est un moyen rapide de se muscler et de gagner en tonicité sans prendre de volume. D’autre part, cela permet de gainer l’ensemble de la machine.

On pense également au « drop jump », référence du travail pliométrique. Il s’agit de se laisser tomber à partir de différentes hauteurs (un banc, par exemple), de rebondir immédiatement sur le sol et d’effectuer un saut à la verticale. L’idée : faire en sorte que le contact avec le sol soit le plus bref possible. Explosivité, on a dit !

En pliométrie, on pratique aussi le « squat jump », terrible (ou excellent, c’est selon) pour les cuisses et le cardio. Il s’agit de descendre en squat à 90° et de se redresser en sautant. Rapidité et explosivité sont de rigueur et s’en trouvent vite améliorées.

Pour les membres supérieurs

Les tractions à la barre fixe relèvent de la pliométrie et visent à muscler les dorsaux et les biceps. Pour mener à bien cet exercice, il faut déjà posséder une certaine force dans les bras.

Les pompes sautées sont également au rendez-vous. Il s’agit de procéder à une flexion rapide des bras vers le sol, immédiatement suivie d’une poussée explosive et rapide. On améliore son gainage, la détente musculaire et la force explosive là encore, en mobilisant de nombreuses fibres musculaires.

Quelques précautions

La pliométrie permet un entraînement complet et intense de l’ensemble des muscles. Toutefois, il faut rester raisonnable afin de ne pas traumatiser les fibres musculaires à outrance ainsi que les articulations, très sollicitées elles aussi. On recommande de ne pas avoir recours à la pliométrie à chaque entraînement. Variez les genres d’exercices afin de vous développer de la manière la plus harmonieuse, sans vous blesser. Aussi, veillez à apprivoiser les postures de la pliométrie. C’est primordial pour profiter pleinement des bénéfices de cette méthode, mais également pour limiter les risques de blessures.

De manière générale, puisque la pliométrie est basée sur l’enchaînement de contractions et d’extensions rapides, apprenez à vous réceptionner. C’est-à-dire :

    • Prenez l’habitude d’atterrir avec tout le pied au sol ;
    • Conservez l’alignement pieds, hanches, genoux, chevilles ;
    • Sortez la poitrine ;
    • Répartissez la force du mouvement entre les hanches, les genoux et les chevilles ;
    • Essayez de maîtriser votre réception en ne claquant pas les pieds. Imaginez-vous léger et tentez de faire le moins de bruit possible.

Compris ? C’est parti !

Références :

  1. G. Cometti. (2004). La détente et la pliométrie. Centre dExpertise de la Performance, UFR STAPS de Dijon. Consulté sur hthiry.free.fr
  2. IM. Fletcher & M. Hartwell. (2004). Effect of an 8-week combined weights and plyometrics training program on golf drive performance. The Journal of Strength & Conditioning Research Volume 18 Issue 1 pp 59-62. Consulté sur nih.gov

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